Un policier du SPVM, demeurant à Repentigny règle ses compte avec justice en plaidant coupable à une accusation de bris d’ordonnance pour avoir tenté de communiquer avec son ex-conjointe.
L’homme de 42 ans, qu’on ne peut identifier, faisait initialement face à quatre chefs dont harcèlement.
L’accusé n’acceptait pas la fin de la relation avec la plaignante.
Son avocate a aussi expliqué au Tribunal qu’il devait être suivi par un psychologue pour un choc post-traumatique lié à son emploi.
L’individu bénéficie d’une absolution conditionnelle notamment au respect d’une probation de 18 mois et de l’obligation de poursuivre ses rencontres avec un psychologue.