Aryan Eslamdoust, un Ontarien, qui s’est acharné sur un ex-amant de Lanaudière et ses proches avec un millier d’appels et de textos en une année, en plus de créer un faux compte sur une application de rencontre pour salir sa réputation, s’en tire avec une peine de prison à la maison.
Le Tribunal a fait sienne une suggestion des avocats en imposant une sentence dans la collectivité de deux ans, assortie d’une période de probation et des travaux communautaires.
L’homme de 28 ans avait plaidé coupable en septembre à divers chefs d’accusation de harcèlement criminel et partage illégal d’images intimes.
Tout a débuté en décembre 2019 en Ontario, quand Eslamdoust a rencontré le plaignant dans ce dossier.
Pendant des ébats sexuels, ce dernier avait pris une photo de l’accusé sans son consentement, entraînant un premier conflit qui a dégénéré alors que la photo a été partagée.
Eslamdoust s’est vengé en le harcelant lui et ses proches via des textos et en créant un faux compte sur lequel il a faussement prétendu que son ex-partenaire était porteur du VIH.