À Québec, on étudie en commission parlementaire le projet de loi 11 qui vise à élargir l’admissibilité à l’aide médicale à mourir
Il inclue des dispositions pour les handicaps neuromoteurs graves notamment la paraplégie, la paralysie cérébrale et l’amputation après un accident.
L’ex-députée de Joliette, Véronique Hivon, marraine de la première loi sur les soins en fin de vie, a été appelée à témoigner alors qu’elle a déposé un mémoire à la commission.
Elle y est allée de ce questionnement.