L’élection de Joe Biden à la tête des États-Unis ne sera sûrement pas suffisante pour freiner le mouvement d’adulation autour du président sortant Donald Trump.
Selon l’enseignant en sciences politique au Cégep régional à Terrebonne Mathieu Bélanger, le « Trumpisme » en est probablement à ses premiers balbutiements.
L’avenir du « Trumpisme » dépend évidemment des plans de Donald Trump après la passation des pouvoirs, le 20 janvier.
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