Audrey Gagnon, condamnée à une peine de détention ferme de 14 ans pour le meurtre de sa fillette commis en 2018, règle son dossier devant la justice.
Incarcérée au centre de détention fédéral pour femmes de Joliette, elle a plaidé coupable de s’être livrée à des voies de fait contre un agent de la paix le 1er mars 2023.
L’accusée avait appris une mauvaise nouvelle provenant des employés carcéraux et s’est désorganisée.
C’est alors que les gestes ont été posées.
De façon commune, la Couronne et la Défense ont fait une suggestion de six mois de détention à être purgée de façon concurrente, ce que la juge Marie-Eve Landreville a accepté.