La Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec reprend dès ses moyens de pression pour faire avancer les négociations avec Québec.
La FIQ dit ne pas avoir d’autre choix alors que le gouvernement ne bouge pas sur la mobilité exigée de ses membres.
Le syndicat affirme que ce que le ministre de la Santé Christian Dubé exige des professionnelles en soins va bien plus loin qu’un simple déplacement mineur, qu’il s’agit de grands changements qui pourraient porter atteinte à la sécurité des soins.
Rappelons que l’entente de principe a été rejetée à 76% par les membres de la FIQ dans Lanaudière.
La présidente, Marie-Chantal Bédard.