Il semble de plus en plus évident que les centrales syndicales du Québec vont prendre les moyens pour tenter de forcer la main du ministre du Travail, Jean Boulet pour qu’il amende substantiellement ou qu’il retire son projet de loi 89.
Il a pour objectif de limiter le droit de grève et de lock-out et ne s’appliquera pas dans certaines secteurs comme la santé et les services sociaux.
Le porte-parole national de l’APTS dans Lanaudière, Steve Garceau, rappelle que la Cour Suprême a consacré le droit de grève.