Alors que les ravages des pluies diluviennes ébranlent des sinistrés de Sainte-Élisabeth, l’administration de la municipalité tient à remettre les pendules à l’heure.
La communauté d’un peu moins de 1 500 habitants doit composer avec des défis supplémentaires lorsque des événements météorologiques extrêmes sévissent.
Le directeur général, David Paradis-Lapointe, rappelle que la municipalité ne peut pas toujours se donner le moyen de ses ambitions pour faire face aux attentes.