Vous le savez, les banques alimentaires peinent à répondre aux besoins sans cesse grandissants de gens qui ont pratiquement abandonné l’idée de faire régulièrement une épicerie en raison des coûts élevés des aliments.
L’OBNL, Le Relais de Mascouche a la chance de compter sur des épiciers qui conservent dans de bonnes conditions des aliments invendus pour ensuite les remettre à l’organisme.
Comme l’explique la Directrice, Émilie Faustin, une serre et une terre cultivable font partie des outils pour combattre la faim.