Les constables spéciaux oeuvrant au parlement à Québec et dans les palais de justice mènent des moyens de pression dans le cadre des difficiles négociations avec le gouvernement du Québec.
Sur leur uniforme, ils arborent notamment une caucarde pour sensibiliser la population.
Or, cela va à l’encontre du décorum des salles d’audiences.
Le juge Bruno Leclerc, qui siège à Joliette, a sommé un constable de retirer tout ce qui est en lien avec le conflit de travail.
Sans se prononcer sur le fond des négociations, le magistrat a laisser entendre qu’il souhaite que les gens qui oeuvrent au sein de l’appareil judiciaire soient mieux traités.