Le Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec dévoile les résultats d’un sondage effectué auprès de ses membres œuvrant dans les centres de gestion des appels de la Sûreté du Québec (SQ), dont celui de Mascouche.
Alors que le taux de roulement du personnel atteint des sommets, l’enquête révèle une surcharge de travail découlant du manque de personnel.
Le syndicat estime que manque d’effectifs représente un risque important en matière de sécurité pour les citoyennes et les citoyens ainsi que pour les personnes qui interviennent sur le terrain.
Près de la moitié des personnes répondantes au sondage signalent qu’au cours de la dernière année, leur centre de gestion des appels a été confronté à un bris ou à une interruption de services.
Des répondants mentionnent enfin que le fait de basculer des appels dans d’autres régions occasionne souvent des difficultés supplémentaires en matière de prise en charge en raison d’un manque de connaissance du territoire.
L’entrevue complète sur le sujet réalisée par Pierre Jubinville avec le président du syndicat dans Lanaudière, Nicolas leduc-Lafantaisie.