Malgré l’intervention d’un conciliateur, les négociations n’avancent pas très vite entre le gouvernement et la fédération interprofessionnelle de la santé du Québec.
La flexibilité exigée par Québec est au cœur du désaccord.
Pour la FIQ, il s’agit d’une façon déguisée de déplacer les infirmières entre les unités de soins et les établissements, selon les besoins des employeurs.
La présidente de la FIQ, Julie Bouchard, affirme qu’il n’y aura pas d’entente tant que cette demande ne quittera pas la table de négociation.