Alors que des milliers de québécois n’ont pas de médecin de famille, les différentes facultés de médecine des universités québécoises n’arrivent pas à combler les 91 postes d’omnipraticiens restés vacants.
Pour le président de la Fédération des médecins omnipraticiens, Marc-André Amyot, il va falloir réaliser qu’il y a une crise de la médecine familiale et que la situation va empirer.
Les postes vacants représentent 17% de tous les postes en médecine familiale. Les étudiants préfèrent les autres spécialités ou seulement six postes n’ont pas été comblés.
Depuis 12 ans, ce sont 600 postes qui n’ont pas été pourvus.
La médecine familiale n’attire plus en raison de la paperasse à remplir, de la lourdeur la tache, du dénigrement.