Les camps de jour cherchent des moniteurs

Alors que l’été est à nos portes, la pénurie de main-d’œuvre se fait sentir, même du côté des emplois étudiants.

La plupart des camps de jour municipaux au Québec font face à cette réalité depuis quelques années déjà, mais la situation est encore plus préoccupante à l’amorce de la prochaine saison estivale.

À Mascouche, par exemple, la Ville a limité à 400 places le nombre d’inscriptions, ce qui a suscité de la grogne chez certains citoyens.

Le maire Guillaume Tremblay résume la situation :

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