On dirait pratiquement le jour de la marmotte.
Même si le chef du parti Québécois, Paul St-Pierre Plamondon, affirme qu’il y aura un troisième référendum sur la souveraineté du Québec advenant une prise de pouvoir en 2026, il doit encore composer avec une tranche de la population est peu ou pas favorable à cette option.
Le dilemme existe depuis la fondation du parti.
Notre analyste, Mathieu Bélanger.