La dernière session parlementaire aura permis au Parti Libéral du Québec de prouver qu’il était encore un parti aux assises solides.
De là à dire qu’il recevra suffisamment d’appuis pour songer à reprendre le pouvoir en 2026, il y a un pas de géant à franchir.
Il lui faut reconnecter avec l’électorat francophone, ce qui n’est pas acquis.
Pour l’heure, le chef intérimaire, Marc Tanguay, a fait le travail.
Notre expert, Mathieu Bélanger.