Après les fraises et les framboises, c’est au tour du maïs sucré de prendre les producteurs agricoles au dépourvu.
Les conditions climatiques de cet été sont favorables à la culture du maïs, mais leur murissement hâtif donne des maux de tête aux cultivateurs.
Le président de l’Union des producteurs agricole de Lanaudière, Marcel Papin, explique que les champs qui débordent complexifient la commercialisation du blé d’inde.
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