Le manque de place dans les ressources d’hébergement déploré

Les proches de Josée Barriault, tuée présumément par son conjoint le 1er avril à Sainte-Julienne, déplore le manque de place dans les ressources d’hébergement.

Dans une entrevue à La Presse, ils soulignent aussi l’incohérence de l’appareil judiciaire et l’absence de pro activité des policiers.

Rappelons que Madame Barriault, 48 ans, et son conjoint Patrick Archambault, 46 ans, ont été retrouvés inanimés à l’intérieur d’une résidence. Il meurt quelques heures plus tard à l’hôpital.  Le lendemain, les policiers découvrent le corps de la femme étendue dans la neige.

Selon l’hypothèse de la famille, le couple se serait violemment attaqué durant la journée. La femme serait sorti du domicile tandis que l’homme se serait suicidé.

La famille de Josée Barriault s’est sentie abandonnée par un système censé prévenir ces drames.

La mère, qui a rencontré Archambault à l’automne 2022, vivait une période difficile, n’avait pas d’emploi. Elle était épuisée et dépassée selon ses filles. L’Homme contrôlait, selon la famille, de façon insidieuse ses finances, ses déplacements et ses interactions.

Photo : ISTOCK