Face à une hausse significative des demandes d’aide, la Société-Saint-Vincent-de-Paul est contrainte de diminuer le soutien qu’elle offre aux plus vulnérables.
L’organisme doit surtout compter sur les revenus de sa boutique d’occasion et de la guignolée pour financer ses activités.
Les 4 000 $ du provincial et 2 500 $ des municipalités de Joliette, Notre-Dame-des-Prairies et Saint-Charles-Borromée qu’elle reçoit annuellement lui permettent de prévoir une semaine et demie d’activités seulement.
Le président de la Société-Saint-Vincent-de-Paul, André Nadeau, se désole de devoir diminuer l’aide offerte aux bénéficiaires.