La bisbille gagne les troupes du chef conservateur Pierre Poilièvre.
On lui demande de recentrer son message sur les enjeux canadiens au lieu de se concentrer sur les menaces en provenance des États-Unis.
Et puis, il n’y a aucune place pour les membres de l’équipe conservatrice dans les messages.
Il n’y en a que pour le chef.
Notre analyste, Mathieu Bélanger.