La Cour suprême américaine accorde une immunité partielle aux anciens présidents.
Cette décision statue qu’un ancien président jouit d’une immunité absolue pour des actes officiels, mais qu’il n’est pas à l’abri de poursuites pour des actes qu’il aurait commis à titre personnel.
Cette décision crée un dangereux précédent selon plusieurs observateurs de la scène politique selon la lecture qu’en fait notre analyste politique, Mathieu Bélanger.