La maîtrise du français est une condition sine qua non pour devenir chef d’une formation politique au fédéral.
Par le passé, les chefs qui n’ont pas été mesure de bien se débrouiller dans la langue de Molière, notamment lors des débats, ont perdu des votes au Québec mais aussi dans les provinces où se trouvent des minorités francophones.
Notre analyste Mathieu Bélanger.