La pénurie de main-d’œuvre spécialisée force les organisations scolaires à recourir de plus en plus à des services privés en en psychologie, en orthophonie ou en orthopédagogie et la région n’y échappe pas.
Selon le Journal de Montréal, au Centre de service scolaire des Samares, 38 % des postes de professionnels sont vacants dans les écoles, alors que la facture a grimpé en flèche.
En 2020-2021, elle s’établissait à 776 $.
En 2023-2024, on parle de 206 155 $
Selon Julien Prud’homme professeur spécialisé dans les politiques professionnelles en santé et éducation à l’Université du Québec à Trois-Rivières, le recours aux services privés en éducation est «une mauvaise pratique» parce qu’elle «aggrave» la pénurie.