Certaines victimes de violences à caractère sexuel doivent attendre près d’un an avant d’obtenir un suivi auprès du CALACS Coup de coeur, le Centre d’aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel de Joliette.
Le délai entre un acte de violence sexuelle et le moment où la victime sollicite l’aide du CALACS a diminué, passant de plus de sept ans à parfois moins d’un an.
Les femmes et les adolescentes sont aussi plus nombreuses à cogner à la porte de l’organisme.
Malgré tout, la coordonnatrice du CALACS Coup de cœur de Joliette, Paméla Carrier, assure que personne n’est laissée derrière.