L’association des camps du Québec souhaite que le gouvernement règlemente les camps de jour et les camps de vacances en mettant en place des exigences pour l’obtention d’un permis d’exploitation.
Des balises devraient être ajoutées au projet de loi 45 telles la formation professionnelle, les ratios d’encadrement, l’âge du personnel, les mesures d’urgence, la documentation sur les jeunes qui ont besoin particulier.
C’est le seul secteur d’enfants qui n’est pas régi par des règles strictes.
Dans Lanaudière, la directrice du camp Ouareau à Notre-Dame de la Merci, Gabrielle Rail, réclame un meilleur encadrement.