Début à Québec de l’étude du projet de loi 38 sur la possibilité de demande anticipée d’aide médicale à mourir pour les personnes atteintes de problèmes neuro-dégénératifs comme l’Alzheimer.
La députée de Joliette, Véronique Hivon est perplexe face à la position adoptée par le Collège des médecins.
Ce dernier souhaite que la loi québécoise s’harmonise avec la loi fédérale.
On écoute Mme Hivon.