Nouvelles révélations sur le traitement réservé aux Atikamekws à l’Hôpital de Joliette.
Le Devoir relate le récite de trois femme autochtones de Manawan qui affirment avoir subi de mauvais traitements en raison de leur origine.
On parle de cas qui se seraient produits en octobre et au début de mars, donc après les événements impliquant Joyce Echaquan et le dernier remonte à plus de 7 ans.
En 2014, une enseignante à la Manawan, Pauline Dubé a subi un AVC mais au départ à l’hôpital, on l’a retourné chez elle affirmant qu’elle n’avait rien.
Une fois le diagnostique confirmé à la suite d’un examen au CLSC de St-Michels des Saints, elle est retournée à l’hôpital où elle eu droit à une volée d’insultes de la parte d’une femme médecin.
En octobre, Shannon Blacksmith s’est présenté à l’hôpital avec sa fillette blessée.
Elle affirme n’avoir pas eu le droit d’y être accompagnée par son conjoint et personne n’a voulu l’aider à joindre le Centre d’amitié autochtone où pouvait s’être rendu son mari
Le dernier événement date du 3 mars Maybelline Ottawa, une mère de Manawan, s’est rendue à l’urgence de l’hôpital de Joliette alors que son fils venait d’être happé par une voiture.
On lui a refusé l’accès à son fils alors qu’une autre femme non autochtone a eu accès
Le CISSS refuse de commenter ces dossiers.