La députée de Joliette, Véronique Hivon, doute fort que le projet de loi sur l’aide médicale à mourir puisse être adopté d’ici la fin de la session parlementaire.
L’ouverture fait aux gens atteints d’un handicap neuromoteur n’a jamais fait partie des travaux menés et commande donc une consultation plus large. Mme Hivon affirme que cette ouverture va à l’encontre de l’esprit du Québec à vouloir rendre accessible l’aide médicale à mourir.