L’ex-députée provinciale de Joliette et marraine de ce qui est devenue la loi québécoise sur l’aide médicale à mourir, Véronique Hivon applaudit la décision de Québec de ne pas entamer de poursuite à l’endroit du personnel qui prodiguera ce soin ultime.
Les personnes atteintes d’Alzheimer ou de maladies neurodégénératives, dont la seule issue c’est la mort, pourront donc adresser une demande anticipée d’aide médicale à mourir.
François Morin a discuté avec Véronique Hivon