A Québec, il n’est pas du tout assuré que les députés chargés d’étudier le projet de loi 38 qui ouvre la porte aux demandes anticipées l’aide médicale à mourir aux personnes atteintes de maladies comme l’Alzheimer vont compléter leur mandat.
Il ne leur reste que deux jours de travail à l’agenda avant la fin de la session et il s’agit d’un dossier fort complexe.
François Morin a discuté avec la députée de Joliette, Véronique Hivon.