Aide médicale à mourir dans une résidence funéraire : Véronique Hivon se questionne.

La ministre déléguée à la santé, Sonia Bélanger, juge vraiment inapproprié qu’un complexe funéraire du Haut Richelieu  offre à ses clients de louer sa salle d’exposition pour y recevoir l’aide médicale à mourir.

La maison funéraire, qui réclame 700 dollars pour payer la location de la salle, a sauté sur l’occasion alors que les québécois expriment un intérêt grandissant pour l’aide médicale à mourir.

Une pratique qui soulève des questionnements, selon la marraine de la loi et ancienne député de Joliette, Véronique Hivon.

En 2021-2011, 3700 personnes ont eu recours à l’aide médicale à mourir au Québec.