Maxime Dogget Bigras, 27 ans, de Pointe-Calumet, règle ses comptes avec la justice en lien avec une violente agression survenue en septembre dernier à Sainte-Émélie-de-l’Énergie.
Il a plaidé coupable, mardi matin, à des chefs de voie de fait causant des lésions corporelles, d’avoir utilisé une arme à feu lors de la perpétration d’un voie de fait causant des lésions, menace de mort et bris de probation.
La juge Kathlyn Gauthier a entériné la suggestion commune faite entre la Couronne et la Défense en condamnant l’accusé à 42 mois de pénitencier.
Les fait se sont déroulés dans la soirée du 10 septembre dans une résidence du Chemin du Club de la Barrière.
Selon le récit des événements faits par le procureur du DPCP, M. Dogget Bigras, s’en serait pris à la victime après que ce dernier ait fait un commentaire déplacé envers sa conjointe enceinte.
Il l’a rué de coups de poing en plus de donner des coups de crosse de carabine.
La victime a subi des fractures au visage, à un doigt et à une côte.
Fait rarisisme, l’accusé a demandé à la juge la permission d’embrasser son enfant qui est né alors que l’accusé était en prison, demande qui fût acceptée.
En retranchant la détention provisoire, il lui reste 35 mois à purger.