Seulement 10 % des distilleries québécoises travaillent à partir d’ingrédients locaux, un modèle d’affaires plus coûteux.
Le regroupement Spiritieux Québec, dont fait partie la distillerie Grand Dérangement, à Saint-Jacques, nourrit l’espoir d’obtenir une appellation réservée à leur produit, depuis trois ans.
Leurs efforts pourraient porter fruit, d’ici quelques mois.
Un reportage de Laurence Trahan.