Malgré leur potentiel et leur importance croissante dans le paysage culturel et touristique québécois, les festivals trads font face à des défis de taille selon ce qui ressort d’une étude commandée par le Conseil Québécois du Patrimoine vivant.
On parle du manque de financement, qui contraint ces événements à compter en grande partie sur le bénévolat, l’augmentation des coûts techniques et de location d’équipement exercent aussi une pression financière importante.
La difficulté de promouvoir et de mettre en marché les festivals auprès de nouvelles clientèles ainsi que la rareté de la main-d’œuvre qualifiée ajoutent aux difficultés.
Autre constat : les événements sont peu connus en dehors de leur région.
À titre d’exemple : l’étude cite le Festival Mémoire et Racine et qui est connu de 36% des répondants lanaudois à un sondage Léger et de seulement 4% des répondants ailleurs au Québec.
Crédit photo Guillaume Morin Folktographe