La qualité de l’eau de 82 des 160 plages qui participent au programme québécois Environnement-Plage reste inconnue.
Dans Lanaudière, on compte 80% des plages qui n’ont pas encore été inspectées.
Le ministère de l’Environnement assure cependant que des étudiants formés amassent les données manquantes des différentes régions.
Les échantillons recueillis permettront de déterminer s’il y a présence de la bactérie E-coli, c’est-à-dire, s’il y a présence de contamination fécale dans l’eau qui peut provenir des oiseaux ou de contamination à proximité du cours d’eau.
Les plages sont ainsi inspectées par ordre de priorité selon les résultats recueillis l’été dernier.
Si une plage a donc reçue de bons résultats l’an dernier, deux visites y sont prévues au cours de l’été, en comparaison à cinq fois pour celles qui ont reçues une mauvaise note.