Si l’an dernier la tempête Debby n’a pas épargné les agriculteurs, cette année ce sont plutôt les importantes précipitations de la fin de semaine.
C’est le cas d’un producteur maraîcher de Saint-Roch-de-l’Achigan, Martin Gariépy, qui confie à La Presse qu’en l’espace de deux heures et demie près de 110 millimètres de pluie ont touchés ses terres.
De plus, M. Gariépy estime que les pertes dans un seul de ses champs de betteraves se situent entre 100 mille dollars et 150 mille dollars.
La directrice de l’Association des maraîchers du Québec, Catherine Lefebvre, explique la différence des répercussions par rapport à l’an dernier :