Nahja Sahli, une responsable d’un service de garde en milieu familial de l’Assomption n’aura pas à subir un nouveau procès sur des accusations de voies de faits sur 4 enfants, une histoire qui remonte à plus de 5 ans.
Le DPCP a pris connaissance d’un jugement de La Cour d’appel du Québec, rendu à la fin octobre, selon lequel le juge du procès aurait erré en affirmant que l’accusée s’était contredite.
Le DPCP en est venu à la conclusion qu’il n’avait plus de preuve suffisante à offrir.