Bien qu’historiquement, le Canada n’a jamais été le plus dépensier en matière d’armements, la position adoptée par le premier ministre Mark Carney au Sommet de l’Otan s’explique par un contexte géo-politique tendu.
Tous les pays membres de l’OTAN ont convenu de porter à 5% de leur PIB les dépenses en défense.
Notre analyste Mathieu Bélanger.