La 24e session de l’Instance permanente des Nations Unies sur les questions autochtones qui se déroule cette semaine pourrait donner lieu à des blâmes à l’endroit du Québec et du Canada.
Pendant deux jours, des chefs autochtones ont rappelé à la face du monde que les gouvernements du Québec et du Canada doivent aller au-delà des paroles et mettre pleinement en œuvre la Déclaration des Nations unies sur les droits des peuples autochtones.
L’application est lente en regard de la préservation des ressources alors que les tribunaux sont souvent saisis de requêtes pour que les droits des Premières nations soient respectées.
Le chef de Manawan, Sipi Flamand.