Les Premières nations rejettent le projet de constitution québécoise.
Elles estiment que si le projet de loi était adopté tel qu’il est présenté il constituerait une exclusion complète des droits des peuples autochtones dans le discours politique et juridique du Québec.
Des représentations seront faites en commission parlementaire.
Le chef de Manawan, Sipi Flamand :