Bien qu’il estime que les lacunes de transmissions des informations budgétaires soient imputables au mal-fonctionnement d’un logiciel, le maire Louis Bérard de Ste-Élisabeth devra éventuellement rendre des comptes.
Un ex-citoyen de l’endroit, Claude Ferland, a porté à notre attention un des attendus qui composent de décret de mise en tutelle.
On rappelle que la Commission municipale du Québec a commandé un audit de performances.
Il ressort que l’encadrement et les activités de contrôle du pouvoir de dépenser sont déficients et que le suivi budgétaire et la reddition de comptes comportent des lacunes.