Sous le prétexte de lutter contre les cartels de drogue, Washington a déployé des forces armées en mer de Caraïbes notamment le porte avions le plus grand au monde et a accentué la pression au cours des derniers jours en décrétant que l’espace aérien du Venezuela doit être considéré comme totalement fermé.
Bien qu’il n’est pas sensé avoir le pouvoir de fermer l’espace aérien d’un autre pays, notre analyste politique, Mathieu Bélanger, y voit une tentative d’intimidation du président Trump :
Le président américain a confirmé hier avoir eu un échange téléphonique avec Nicolas Maduro, le président du Venezuela, qui voit dans les gestes américains « une agression en préparation ».
Depuis le début septembre, les États-Unis ont mené des frappes contre plus de 20 navires en mer des Caraïbes et du Pacifique tuant au moins 83 personnes.