Les révélations selon lesquelles l’ancien ministre fédéral de l’Immigration, Sergio Marchi a répondu en 1995 à une commande du premier ministre de l’époque, Jean Chrétien, d’accélérer le processus d’acquisition de la citoyenneté à des milliers d’immigrants pour qu’ils votent non au référendum sur la souveraineté ne viennent évidemment rien changer au résultat.
De l’avis de notre expert Mathieu Bélanger, si le Parti Québécois prend le pouvoir et lance un autre référendum, il a tout intérêt à négocier avec Ottawa l’établissement de règles claires :