Les pharmaciens propriétaires contestent à leur tour la loi 2 devant les tribunaux.
Des articles de la loi, qui inquiète l’Association, donnent le pouvoir au ministre de la santé de décréter une entente après 60 jours de négociations sans que les pharmaciens aient leur mot à dire.
Le gouvernement n’aurait qu’à évoquer l’importance de ne pas limiter l’accès aux soins de santé.