La décision de la MRC de Joliette de porter en appel les conclusions de la Commission de protection du territoire agricole (CPTAQ) sur le site d’enfouissement de Saint-Thomas est à la fois un enjeu économique et de santé publique.
La CPTAQ refuse que le site soit agrandi.
Il aurait atteint sa pleine capacité d’ici six ans.
Le préfet de la MRC et maire de Joliette, Pierre-Luc Bellerose, précise que plusieurs erreurs de droits et de faits ont été commises par la commission :
Voici l’entrevue réalisée par notre journaliste Michel Harnois avec Pierre-Luc Bellerose :