Le parti québécois demande au gouvernement de resserrer le suivi des criminels condamnés à porter un bracelet anti rapprochement.
La député péquiste de Terrebonne, Catherine Gentilcore, déplore un certain relâchement dans l’application de la loi pour économiser de l’argent.
La Presse révélait en début de semaine que le gouvernement a assoupli la surveillance de criminels violents et de nouveaux condamnés.
Les agents de probation ne seraient plus obligés de rencontrer les victimes pour s’assurer du respect des conditions de ceux qui portent ces bracelets. Catherine Gentilcore a déposé une motion pour s’assurer que les agents de probation puissent toujours prioriser ces suivis.