Les autochtones sont durement impactés par la crise du logement.
Ils sont plus nombreux que les non-Autochtones à déclarer vivre dans un logement surpeuplé.
La Presse révèle qu’ils sont deux fois plus susceptibles d’habiter une maison qui nécessite des réparations majeures et trois fois plus susceptibles de déclarer la présence de moisissures dans leur logement et de l’eau non potable que les non-Autochtones.